The former D.FI. leaves the portfolio of the family office Martek to join the listed printer manufacturer Ricoh, which is expanding its IT services activity in France by acquiring €45 million in turnover and 350 customers. Corelia trades a French family office for a Japanese group listed as majority shareholder. The former D.FI. joined Ricoh Company just before Christmas. The manufacturer of printers and photocopiers, whose activity extends well beyond the sale of equipment, does not communicate any financial information on this acquisition from Martek, majority shareholder since a BIMBO in 2020 associated with the general manager. Thomas Meunier who became president and Olivier Raulin, who took over as CEO (read below). The French subsidiary of the Japanese giant with ¥1,682 billion in revenue (€11.8 billion) was advised in this operation by the investment bank PwC Corporate Finance.
Like its new owner, the target was born as a seller of hardware, not printers and photocopiers but computers. Faced with the fall in this market, it had to launch a range of service activities, sometimes resorting to external growth. Its turnover, exceeding €100 million ten years ago, stands at €45 million in 2022, barely more than the previous year, with around 220 employees, some of whom in its Moroccan and Egyptian. Present in the Paris region (Saint-Denis, Ivry, Meudon), Lille, Lyon, Nantes, Bordeaux and Toulouse, the ESN has 350 customers (Sanofi, Murex, Cbp, Thales, Keolis, Safran, Invivo...) to whom it provides consulting, auditing and outsourcing services (databases, business intelligence, backup, storage, network, cybersecurity, etc.). Corelia strengthens Ricoh France's business IT services business, already well established alongside the historic business of manufacturer of office printers, production (printers), textiles, including in particular document management, digital workspace , cloud, cybersecurity, digital experience and data analytics.
Le numéro deux des ventes privées prend 51% du site créé il y a trois ans seulement par Edouard Caraco et Timothée Linyer. Objectif: bénéficier de son expérience auprès des marques premium et digitales, et rajeunir sa clientèle. Tout en gagnant 5% de part de marché.
C'est la rencontre de deux entreprises aux parcours similaires, à vingt ans d'écart: Showroomprivé, le numéro deux des sites de ventes privées, créé en 2006 par Thierry Petit et David Dayan, 48 ans aujourd'hui, annonce ce mardi 12 avril le rachat de The Bradery, une jeune pousse du secteur, cofondée par un autre duo d'entrepreneurs, Edouard Caraco et Timothée Linyer, 28 ans. Encore peu connue du grand public, The Bradery est une pépite à surveiller comme le lait sur le feu: en trois ans d'existence seulement, elle a connu une croissance fulgurante, de 30% au premier trimestre 2022. Avec 30 millions d'euros de volume d'affaires en 2021, c'est bien sûr encore un petit poucet par rapport aux deux gros du secteur, Veepee (environ 3,8 milliards d’euros) et Showroomprivé (1 milliard). Mais c'est déjà le quatrième acteur du secteur, selon Foxintelligence, avec une part de marché qui avoisine les 5%.
Martek était un fier investisseur de The Bradery depuis sa création.
et des Hommes, l'agilité et l'efficacité professionnelle. Ses principaux clients sont des sociétés d'ingénierie ou industrielles, des éditeurs de logiciels, des médias ainsi que des TPE, PME et ETI innovantes. Actinuum accompagne la mise en œuvre de leurs stratégies par le développement des compétences de leurs managers et équipes. L'organisme revendique ainsi 5 200 personnes formées en 2020 et propose 65 formations qu'il déploie par le biais de 90 formateurs indépendants. Avec cette prise de participation, Martek pose la première pierre d'une stratégie ambitieuse dans le secteur de la formation continue et de l'éducation. « Le groupe pourra s'appuyer sur nos capacités financières et sur le sourcing du cabinet 3E (Eugène Eisenberger) pour accélérer son développement par voie de croissance externe en vue d'étendre son maillage territorial et densifier son offre de formation », expose Thibault Manquin. Le groupe parisien a d'ores et déjà entamé son développement régional avec l'ouverture de bureaux a Toulouse et, en début d'année, à Lyon.
Né en 1985 et en repositionnement sur les services et le Cloud depuis 2014, D.FI a vu son chiffre d’affaires passer d’une centaine de millions d’euros affiché à l’époque à près de 60 M€ à ce jour. Une baisse d’activité mécanique qui s’est cependant faite au profit d’une hausse de la marge et des revenus récurrents, explique-t-on chez Martek. La holding prévoit notamment d’épauler Thomas Meunier dans sa croissance à l’international, et n’exclut pas de procéder à des build-up en Europe pour viser 250 M€ de chiffre d’affaires d’ici cinq ans.
Created in 1996 by Jacques Horovitz and Daniel Abittan, CHATEAUFORM has continued to grow over the past 20 years, doubling in size every 5 years. Today, the company realises about € 130 million of sales in the organization of all-inclusive business seminars with nearly 60 "homes" in 7 countries. Driven by the enthusiasm and strategic vision of its leading shareholder Daniel Abittan (founding director of PHOTOSERVICE and GRAND OPTICAL), the company has grown but has never deviated from its values: Family, learn always learn, loyalty and honesty, dare, always dare, no attribution of contribution, rigor and performance.
The CHATEAUFORM group continues its development in France and internationally, both on its core business, whose ambition remains intact (to make magic seminars) and on related activities such as events, catering services and the organization of urban study days. It was in this context that Daniel Abittan organized the takeover of Eurosites (€ 40 million in sales) in conjunction with the reconfiguration of its shareholding, notably with the exit of its minority shareholder NAXICAP. MARTEK is delighted to support Daniel Abittan for this new phase of the development of CHATEAUFORM '